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Les grands absents du Métavers
L’armée et l'industrie pornographique sont à l’origine de nombreuses innovations et évolutions dans le champ des techniques et technologies de communication (cartes postales, photographies, cinéma, cassettes vidéo, Minitel, web, etc.).

À ce titre, souvenons-nous qu’en 2007, le créateur de Second Life déclarait : “le sexe est un signe que le monde virtuel est solide et prospère […] À bien des égards, la présence du sexe comme expression créative et comportement ludique est un aspect de bonne santé pour la plateforme parce qu'il indique que nous faisons quelque chose de bien […] La présence du sexe est aussi un signe que les gens se lient à la communauté, les uns avec les autres”. Or, ces deux domaines sont aujourd’hui absents des usages du Métavers, ou alors peu visibles et peu représentés. Lors de la seconde journée des Metaverse Dialogues, un représentant de l’entreprise française Dorcel indiquait que/qu’ :

  • le casque de réalité virtuelle n’est pas considéré comme un dispositif pertinent au regard des préférences de consommation de leurs clients (contenus payants, large pourcentage de la consommation en couple) ;
  • la qualité des expériences vécues grâce à un casque de réalité virtuelle n’est pas jugée satisfaisante au regard d’autres expériences proposées ;
  • il n’y a pas aujourd’hui de technologie ou de technique permettant d’assurer à 100% que les utilisateurs au sein du Métavers ont l’âge requis pour avoir accès à ce type de contenus.

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